Keziah Jones a débuté comme pas mal d'autres, dans le métro parisien, trimbalant sa haute silhouette et sa guitare de festival en festival. Enorme guitariste, un instrument dont il utilise autant le bois que les cordes, il mêle funk, africain, et pop-rock. Il vient de sortir déjà son 5e album, Nigerian Wood, allusion directe au Norwegian Wood des Beatles.
Patrice s'est d'abord fait un nom en Allemagne. Le compagnon de la belle Ayo en est, lui aussi, à son cinquième album et reste un inconditionnel de l'éclectisme : soul, blues, reggae, hip-hop, voire les limites du jazz.
La Rue Kétanou, c'est de la musique populaire à l'accent tzigane, un trio joyeux : une voix, un accordéon et deux guitares, et une ambiance toujours festive sur scène, une fête partagée avec le public.
Java a inventé le rap musette, le vrai son parigot entre accordéon et samplers.
Assassin est un des premiers groupes rap français à rencontrer le succès, à l'image d'IAM ou de NTM. L'une des grandes formations du début de la décennie 90 encore en état de marche.
Babylon Circus, c'est une sorte de pack rugbystique élargi (ils sont une douzaine) donnant dans le ska punk reggae. Des textes sociaux et engagés habillés par Bob Marley et Clash.
Hilight Tribe a écumé tout ce que la Bretagne compte de salles et de festivals. Leur musique ? Une sorte de techno acoustique tribale, entre percus, didjeridoo et effets électro. Leur dernier album Trancelucid est sorti il y a un mois.
Juno Reactor, c'est une tribu d'extra-terrestres, le plus célèbre collectif de transe tribale. Leur spectacle, gavé de vidéos projections, est grandiose, la composition du groupe, impressionnante (Ghetto Priest, chanteur d'Asian Dub Foundation ; Steve Stevens, guitariste de Billy Idol ; Greg Ellis, batteur de Beck ; Taz Alexander, l'une des plus célèbres cantatrices anglaises entendue notamment dans le film Matrix...).
Sporto Kantès enfin, est un duo électro festif. Deux musiciens venus d'univers différents et se retrouvant dans une électro-pop joyeuse.
Comme on peut le constater il y en a pour tous les gouts, C'est parfait pour se mettre en jambe au début de la longue saison des festivals made in BZH.
Festival Yakayalé, les 10 et 11 avril 2009, au Pavillon de Quimper, forfait 2 jours 40 € (+ frais de location), Ticket journée : 27, 5 €, tarif réduit (CE, étudiants, chômeurs) 25 €. Infos : www.regie-scene.com, regie-scene@wanadoo.fr ou Régie Scène 02 98 30 30 15.
(Source: Ouest France)Je t'ai pris au mot soso!!!
SYOU
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire